Irréalité capitaliste
Oui, il existe encore des endroits où des gens font des
choses qu’ils aiment et rendent service à la communauté sans forcément
quémander sans cesse, tombant dans un travers capitaliste. Ou est cet
endroit ? Dans un bastion communiste ? non…
Ça s’appelle UNIRAD, un peu comme UNIversität et fahRAD
(vélo).
Dans cet endroit, on arrive, quelqu’un s’occupe de vous,
retape votre vélo et en contrepartie demande… 50 centimes d’euro… Je voulais
lui donner plus, il est parti chercher de la monnaie… A ajouter éventuellement
un dédommagement pour les pièces ajoutées. Moi par exemple, le type m’a changé
la chambre à air, et m’a fait payer… 2 euros !
Il existe aussi une sorte de bar tenu par des étudiants du
foyer du naboty, qui ouvre chaque mercredi soir. Il ya billard, babyfoot, table
de ping pong et télé, ainsi que des bons gros canapés. Les boissons sont à des
prix exhorbitants : 80 centimes le demi litre de coca, 1 euro le demi
litre de bière.
Sans compter le café internet où l’heure est à un euro, avec
décompte à la seconde près.
Des fois, l’Allemagne fait penser à ces pays de l’Est ou on
est le roi du pétrole avec quelques euros.
Dans la version aussi gestion incompréhensible (communiste surement,
c’est à Berlin est) :
Une piscine fermée le samedi, et pire, fermée depuis le 02
mai jusqu’au 28 aout, sauf 2 matins par semaine de.. 6h30 à 8h.